Les Portraits de Marie-Antoinette, Vol. 2

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Excerpt from Les Portraits de Marie-Antoinette, Vol. 2: Étude d'Iconographie Critique, La Dauphine 1770-1774 Le Cabinet des Médailles possède un exemplaire en argent de la pièce commémorative demandée a Duvivier (planche III-I). Les coins n'en sont pas conservés a la Monnaie. La face, signée par l'artiste, est identique a celle de sa première médaille allégorique. La Gazette de France, du juin 1750, signale son apparition sans indiquer le nom de l'auteur, alors que le Mercure de France, dans le volume du mois de juin, précise le nom de Duvivier. Cette affirmation présente un grand intérêt, étant donné que le revers ne porte aucune marque, cette absence de signature donne à penser que le médailleur conserva la direction du travail, mais confia la gravure des bustes à un confrère moins occupé. Au début de cette année 1750, Duvivier jouait en effet de malheur dans ses travaux. Déjà nous avons vu qu'il regrava le poinçon de la composition allégorique de grand module. Un accident survenu à la trempe, l'obligea de même à recommencer la médaille que la Société littéraire de Bruxelles destinait aux lauréats de ses concours. Le nom de Gamot se présente naturellement à l'esprit, puisque nous savons qu'il assista a diverses reprises les médailleurs en charge, particulièrement a l'occasion du mariage de la Dauphine. L'examen attentif des profils vient. A l'appui de notre hypothèse, car s'il dénote la sûreté de métier d'un vieux praticien, par contre la faiblesse du modelé dénonce le talent secondaire d'un spécialiste de la gravure en cachets. About the Publisher Forgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. Find more at www.forgottenbooks.com This book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstruct the work, preserving the original format whilst repairing imperfections present in the aged copy. In rare cases, an imperfection in the original, such as a blemish or missing page, may be replicated in our edition. We do, however, repair the vast majority of imperfections successfully, any imperfections that remain are intentionally left to preserve the state of such historical works.