Le notaire en Valais

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Le notariat et la tenue des registres qui y est liée garantissent la paix et la sécurité du droit. Ainsi, les notaires contribuent fortement au développement et à la prospérité de notre pays. Viola Amherd, Conseillère fédérale, avocate et notaire Heureusement que les propositions de séparation du métier d’avocat et du notariat tout comme la mise en place du notariat officiel n’ont pas abouti, car l’avocat-notaire est régulièrement amené à extraire les parties au litige de leurs positions tranchées comme le ferait un médiateur et permet ainsi d’éviter de longs procès coûteux avec un acte notarial. Ce présent travail décrit le statu quo du canton du Valais et confirme que la procédure pratiquée en son sein est une bonne solution. Thomas Brunner, juge cantonal, président de la Cour de droit public Les auteurs traitent dans ce livre de droit valaisan qui est rarement thématisé par la littérature juridique. C’est précisément cela qui peut rendre un grand service aux notaires et autorités de notre canton. Dr Damien Carron, directeur académique d’UniDistance Suisse Le registre foncier, important pilier de la sécurité juridique suisse, est indispensable pour l’aménagement du territoire et la planification des constructions. Ce présent ouvrage peut contribuer à la perpétuation du précieux travail effectué au sein du registre foncier au niveau le plus élevé. Dr Patrick Hildbrand, médecin, député au Grand Conseil et Conseiller municipal, chef du service de construction et planification La formation de notaire du canton du Valais requiert la maîtrise du droit de chaque niveau législatif et offre la garantie que le notaire indépendant et impartial agit comme un conseiller en contribuant à la certification de la véritable volonté des justiciables. Patrick Ruppen, avocat et notaire, président de la Commission de l’examen de notaire L’origine étymologique du mot démontre que le métier de notaire n’est pas une mode de passage. Il n’a néanmoins pas perdu de son importance au cours du temps. Alors qu’à l’époque le terme « notarius » signifiait un rédacteur (rapide), aujourd’hui ce sont plutôt des penseurs (rapides) qui sont recherchés, et qui sont capables de mettre indubitablement sous forme écrite la multitude de contrats possibles et d’événements de la vie. La présente publication pourvoit de précieux modes de pensée pour les notaires, dans l’intérêt de leurs clients. Dr Lionel Seeberger, président du Tribunal cantonal du Valais